Vous savez que nous sommes alliés, pas vrai ?
Vous pourriez au moins dire bonjour.
Je suppose.
Un vrai moulin à paroles, comme toujours. Je suppose
[cdb]que vous êtes ici pour vous entraîner ?
Oui.
Sans blagues. Eh bien, cela pourrait être l'occasion
[cdb]de faire un petit duel, vous et moi. Qu'en dites-vous ?
J'ai eu très envie de croiser le fer avec vous depuis
[cdb]que nous étions à Garreg Mach.
Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous déchaîner
[cdb]et de faire un vrai combat, n'est-ce pas ?
On dit que la façon de tenir une épée révèle qui
[cdb]vous êtes vraiment. Alors allez-y, montrez-moi.
Très bien. Dégaînez votre épée.
Hyaah !
Ouf !
Ha ! Vous n'êtes pas mauvais !
...
Quoi, c'est fini ? Juste au moment où les choses
[cdb]commençaient à devenir intéressantes.
Cela ne s'arrêtera pas avant que
[cdb]l'un de nous ne meure.
Je n'ai pas de raison de me battre avec vous.
Mourir m'importe peu.
Mais vous... Vous ne voulez pas tuer un allié.
C'est vrai.
Si je vous abattais maintenant, je ne pourrais jamais
[cdb]plus regarder votre sœur en face.
Nous devrons remettre le vrai combat à une autre
[cdb]fois. Disons que nous sommes à égalité. Hé hé !
Hm ?
Désolée. Je suis seulement heureuse de constater que
[cdb]vous êtes encore plus coriace que je le croyais.
Je comprends à présent pourquoi vous étiez le maître
[cdb]d'armes. Vous allez devoir m'enseigner quelque chose
[cdb]de nouveau la prochaine fois, « Professeur ».
Les plaisanteries m'importent peu.
Que voulez-vous que je vous dise ?
C'est une mauvaise habitude.
Ce n'est pas tous les jours que je peux affronter
[cdb]quelqu'un de votre talent. Vivement notre prochain
[cdb]combat... qui ne sera pas à mort.
Quoi qu'il en soit, je pense que c'est assez
[cdb]pour aujourd'hui. Merci, Jeritza.