- Vous avez toujours un coup d'avance, mais
[cdb]aujourd'hui, c'est moi qui me distinguerai !
- Ne soyez pas trop dur envers vous-même, Ferdinand.
Vous avez largement fait vos preuves, en ce qui
[cdb]me concerne.
- Êtes-vous sûr que vous serez à la hauteur, Ferdinand ?
Vous devriez me laisser prendre le relais.
- Ne dites pas de bêtises ! Il est de mon devoir
[cdb]de vous prêter main-forte.
- Regardez tout ce que nous avons accompli ensemble !
Nul doute que l'Empire connaîtra la prospérité.
- Je l'espère, bien que je me demande si ces deux
[cdb]facteurs sont véritablement corrélés...
- La nourriture qu'on nous sert ici est tout juste
[cdb]comestible, et je suis généreux. Mais au moins,
[cdb]j'ai l'honneur de la partager avec vous.
- Vous aurez bien du mal à trouver où que ce soit
[cdb]le genre de plats qui ornent les tables des maisons
[cdb]les plus nobles.
- Hé hé, voilà qui me rappelle nos jeunes années.
Que diriez-vous d'un concours de celui qui mange
[cdb]le plus vite ?
- J'en dirais que vous avez perdu le sens commun.
Je vous rappelle que nous avons appris à profiter
[cdb]sereinement de chaque repas.
- Je ne doute pas que vous puissiez trouver
[cdb]de meilleurs adversaires... Mais je ferai
[cdb]tout mon possible !
- Meilleurs que vous ? Et qui voudriez-vous que
[cdb]je convoque, le comte Bergliez ?