- L'heure est enfin venue d'envahir le Royaume.
La chevalerie est particulièrement bien implantée
[cdb]en Faerghus. Nous aurons affaire à forte partie.
- Auriez-vous peur, Lorenz ?
- Évidemment que non. Ne soyez pas ridicule.
Pourquoi faut-il toujours que je sois la cible
[cdb]de vos moqueries ?
- Restez aux aguets lorsque nous serons en vue
[cdb]de la frontière. Des éclaireurs ennemis peuvent
[cdb]se cacher n'importe où.
- Il nous reste encore pas mal de chemin à parcourir.
Pour le moment, je pense que nous pouvons
[cdb]relâcher notre vigilance.
- Une attaque !
- Comment ? Pris au dépourvu par l'Empire ?
- Non, Votre Majesté ! L'étendard ennemi...
c'est celui du général Randolph !
- Randolph ? Il doit avoir une sacrée dent contre vous
[cdb]pour revenir vous hanter après sa mort.
- C... Comme un f-fantôme ?
Oh non, c'est un cauchemar !
- Allons, Lysithea, reprenez-vous.
- Peut-être que les proches de Randolph ont découvert
[cdb]ce qu'il lui est arrivé et qu'ils cherchent à se venger.
- Peut-être que les proches de Randolph ont découvert
[cdb]ce qu'il lui est arrivé et qu'ils cherchent à se venger.
- Mouais. Si c'est le cas, je doute qu'ils
[cdb]se laissent facilement raisonner.
- Nous ne pouvons pas nous permettre de nous
[cdb]épuiser aussi vite. Que tout le monde garde son
[cdb]calme. Préparez-vous au combat !
- Non mais Arval, tu plaisantes ?
- Non mais Arval, tu plaisantes ?
- Tu ne peux pas me plonger dans le sommeil comme
[cdb]ça, juste avant la bataille !
- Tu ne peux pas me plonger dans le sommeil comme
[cdb]ça, juste avant la bataille !
- Pardonne-moi, mais il faut qu'on parle.
- Tu te souviens du jour où je t'avais [MFH:averti_avertie]
[cdb]d'un danger ?
- Eh bien, je viens d'avoir une prémonition similaire.
Il y a quelque chose qui cloche. Ça ne va pas du tout.
- La dernière fois que tu as eu une prémonition,
[cdb]le Démon Cendré est arrivé et a bien failli
[cdb]m'envoyer prématurément au cimetière.
- La dernière fois que tu as eu une prémonition,
[cdb]le Démon Cendré est arrivé et a bien failli
[cdb]m'envoyer prématurément au cimetière.
- Tu veux dire que c'est à lui que
[cdb]nous avons affaire, aujourd'hui ?
- Tu veux dire que c'est à lui que
[cdb]nous avons affaire, aujourd'hui ?
- Difficile à dire.
- Mais la sensation que j'ai est pire, cette fois-ci.
Elle est bien plus forte.
- Si le Démon Cendré fait bel et bien son apparition
[cdb]aujourd'hui sur le champ de bataille...
- Je crains que nous ne soyons témoins d'un véritable
[cdb]carnage. Quelque chose de bien plus dangereux que
[cdb]tout ce que nous avons pu imaginer.
- Quoi que ce soit, je vais devoir y mettre un terme.
- Quoi que ce soit, je vais devoir y mettre un terme.
- Très bien, tant que tu ne te mets pas inutilement
[cdb]en danger.
- Souviens-toi que ta mort viendrait couper
[cdb]nos deux lignes de vie bien trop court.