Arrêtez-moi si je me trompe : cette personne vient
[cdb]juste d'entrer à l'Académie, et elle fait déjà partie
[cdb]de notre maison ?
C'est à peu près ça. Pas vrai, Professeur Jeritza ?
Oui.
J'adore, on tombe par hasard sur quelqu'un dans
[cdb]les bois et le lendemain, on vit sous le même toit.
Je savais qu'on avait des affinités !
En tout cas, bienvenue dans la maison du Cerf d'or,
[cdb]où chacun obéit à ses propres règles.
Mais non, je plaisante ! Enfin...
Vous êtes des nôtres, voilà où je voulais en venir.
Et c'est un plaisir de vous accueillir parmi nous.
Les cours ont à peine repris, mais l'Église doit
[cdb]vous avoir à la bonne pour vous autoriser à nous
[cdb]rejoindre en cours d'année.
Vous devez avoir beaucoup de talent
[cdb]pour bénéficier d'une telle faveur.
Moi, ça m'étonne pas ! Combien de jeunes
[cdb]de notre âge peuvent passer pour
[cdb]des mercenaires accomplis, hein ?
Je comprends que l'Église ait sauté sur l'occasion
[cdb]et j'ai hâte qu'on s'entraîne ensemble.
Moi, j'ai hâte qu'on casse la croûte ensemble !
Et qu'on s'exerce, aussi. Ça vous dit d'y aller ?
Sans blague, il va falloir muscler ce corps tout
[cdb]malingre. Regardez-moi, ça c'est du costaud !
Mmouais, le look « muscles saillants sous la chemise »,
[cdb]ça ne va pas à tout le monde. Il va faire peur
[cdb]aux autres, si ça continue.
La carrure de notre [MFH:nouvel ami_nouvelle amie] est parfaite.
Qu'en penses-tu, Marianne ?
Oh ! Euh, je ne... Hm.
Bon, allez, détendez-vous. Et vous, ce n'est pas
[cdb]comme si on ne se connaissait pas, alors faites
[cdb]comme chez vous.
À votre place, [MFH:le nouveau_la nouvelle], je ne prendrais pas Claude
[cdb]pour exemple. Si vous voulez profiter pleinement de
[cdb]votre séjour ici, faites comme moi.
Hum, je crois que le professeur Jeritza
[cdb]a quelque chose à nous dire.
Vous savez ce que vous avez à faire ?
On se souvient de tout, Professeur : il faut éliminer
[cdb]les derniers survivants des Voleurs du Roi de fer
[cdb]qui ont attaqué notre camp.
Maintenant qu'ils ont perdu leur chef Kostas,
[cdb]ces vermines seront des proies faciles.
C'est un travail qu'on nous confie, donc j'imagine
[cdb]que c'est dans nos cordes.
Bien. Allez vous équiper.
Bien reçu, Profess... Il est déjà parti.
Bien reçu, Profess... Il est déjà parti.
Ouais, c'est son truc de disparaître sans prévenir.
On s'habitue, vous verrez.
Moi, en tout cas, j'ai hâte de casser du bandit pour
[cdb]montrer ce que je sais faire.
J'imagine... que c'est obligatoire ?
On est tous dans le même panier, Marianne.
Allez, vous vous en sortirez très bien !
Sans compter que notre nouvelle recrue a déjà mis
[cdb]une raclée à ces bandits, alors ce sera du gâteau !
Accepter le compliment et renchérir
Recommander la plus grande prudence
Tant que je serai là, tout se passera sans anicroche.
Tant que je serai là, tout se passera sans anicroche.
Vous êtes [MFH:sûr_sûre] ? Me voilà soulagée.
La prudence s'impose. Mais si nous gardons
[cdb]la tête froide, nous n'avons rien à craindre.
La prudence s'impose. Mais si nous gardons
[cdb]la tête froide, nous n'avons rien à craindre.
Voilà des paroles dignes d'un mercenaire aguerri !
Je devrais peut-être rester en retrait et vous laisser
[cdb]faire le sale boulot.
Pourtant, le corps-à-corps, c'est votre...
Non, ça ne fait rien.
En tout cas, tout le monde participe à cette mission.
Les règles de l'Église sont formelles. Ce n'est pas moi
[cdb]qui les ai écrites, alors unissons nos forces.
Et puis, nous pouvons compter sur notre mercenaire
[cdb]pour abattre de la besogne. C'est bon pour vous ?
Acquiescer avec aplomb
Faire une réponse malicieuse
Vous pouvez compter sur moi.
Je ne vous ferai pas défaut.
Je ne rechigne jamais à la besogne. Mais j'entends
[cdb]qu'on m'en attribue tout le mérite.
Je ne rechigne jamais à la besogne. Mais j'entends
[cdb]qu'on m'en attribue tout le mérite.