- Voilà où nous en sommes. Maintenant,
[cdb]mets-toi au boulot et ne me déçois pas.
- Fais-moi confiance. Je ferais ça les yeux fermés.
- Et ne néglige pas ton entraînement nocturne.
Si tu ne le fais pas sérieusement, tu seras
[cdb]une vraie loque demain matin.
- Tu me prends pour un mollasson ou quoi ?
Jamais je rate un seul entraînement !
- Très bien. Bon, je te laisse.
- De toute façon, tu as de la visite. À plus tard.
- De la visite ? Qui ça ?
- Tiens. Bonjour, Petra.
- Pardon mais... Tu m'attendais ?
Je peux faire quelque chose pour toi ?
- ...
- Tu es sûre que ça va ? Je te trouve un drôle d'air.
- Je vais bien. Soyez remercié pour votre sollicitude.
- Certaine ? Si tu veux, je t'emmène à l'infirmerie.
- Certaine ? Si tu veux, je t'emmène à l'infirmerie.
Je crois que la professeure Manuela y est déjà.
- Merci, ça ira. Ne vous donnez pas cette peine.
- Comme tu voudras.
- Je le veux. Caspar, je ne savais pas que
[cdb]votre père était venu vous voir.
- Ouais, il est passé s'entretenir
[cdb]avec Edelgard et d'autres personnes.
- Il est tellement débordé qu'il reste jamais plus
[cdb]de quelques heures au même endroit.
- Je tâcherai de m'en souvenir.
- Ah bon ? Tu as besoin de lui parler ?
- Non. Pas encore.
- Bon, mais tu voulais me demander
[cdb]quelque chose, sinon ?
- Hein ? Ah oui... Edelgard vous fait demander.
- C'est ça que je venais vous dire ! Elle était
[cdb]en dehors d'elle. Ses yeux lançaient de l'orage !
- Comment ça ? Elle m'en veut ?
- Oh, non ! J'avais complètement oublié
[cdb]qu'elle voulait me voir !
- Merci, Petra. Tu me sauves la mise !
- Un jour, j'aurai ma vengeance.
- Leopold von Bergliez... Vous regretterez
[cdb]le jour où vous avez volé la vie de mon père.