- C'est bon, il n'en reste plus ? Pff. Le problème,
[cdb]avec les braconniers, c'est qu'on ne sait jamais
[cdb]où ils se terrent.
- On a fouillé tous les refuges potentiels.
Il faut croire qu'il en reste pas un seul.
- Je suis content de vous avoir à mes côtés, Leonie.
Vous connaissez cet endroit comme votre poche.
- Il faut dire que c'est chez moi. Mais vous
[cdb]aussi, vous étiez déjà venu ici, capitaine.
- C'est vrai, mais il y a fort longtemps.
Je n'en ai que des bribes de souvenirs.
- Mauvaise nouvelle, capitaine ! Un autre groupe de
[cdb]braconniers a pris des otages dans un village situé
[cdb]tout près d'ici !
- Ces gens feraient honte à des braconniers ordinaires...
- Ne dites pas cela comme s'il s'agissait,
[cdb]à l'origine, d'une activité honorable.
- Ces preneurs d'otages doivent être des complices
[cdb]des braconniers qui étaient ici.
- D'après les villageois, eux aussi
[cdb]se livraient à des enlèvements.
- Il semblerait que de nombreuses personnes
[cdb]aient été kidnappées récemment, dans
[cdb]l'ensemble des villages environnants.
- Des habitants de Sauin ?
- Oui, un. Pff, ça me met hors de moi !
- Ces types sont dangereux. On a intérêt à s'en occuper
[cdb]avant que de nouvelles disparitions ne soit signalées.
- Ces types sont dangereux. On a intérêt à s'en occuper
[cdb]avant que de nouvelles disparitions ne soit signalées.
- La maison Gloucester nous a ordonné de régler
[cdb]le problème posé par les braconniers à Sauin.
- La maison Gloucester nous a ordonné de régler
[cdb]le problème posé par les braconniers à Sauin.
- C'est ce que nous avons fait. Pour nous, c'est terminé.
- C'est ce que nous avons fait. Pour nous, c'est terminé.
- Comment peut-on être à ce point insensible ?
- Quand quelqu'un est en détresse, on
[cdb]lui porte secours ! C'est un principe
[cdb]tout ce qu'il y a de plus élémentaire !
- Je ne vois personne en détresse, ici. Et vous ?
- Je ne vois personne en détresse, ici. Et vous ?
- Vous m'avez très bien comprise !
- Tout doux, Leonie. L[MFB:e_a] petit[MFB:_e] s'en tenait simplement
[cdb]aux faits, [MFB:il_elle] n'avait pas l'intention d'être blessant[MFB:_e].
- Quelle éducation a-t-[MFB:il_elle] donc reçue, pour
[cdb]devenir un être aussi froid et indifférent ?
- J'avoue ne pas avoir été un père... idéal.
- J'aimerais qu'on garde ça pour plus tard
[cdb]et qu'on revienne à notre situation actuelle.
- De nombreux villageois m'ont apporté leur aide
[cdb]la dernière fois que je suis passé dans ces bois.
Il est normal que je leur rende la pareille.
- Et puis, je ne peux quand même pas rester les bras
[cdb]croisés pendant que des « braconniers » sèment
[cdb]le chaos sur les terres de mon apprentie !
- Capitaine !
- Par contre, pas question de s'éterniser ici. On localise
[cdb]l'ennemi, on libère les otages et on rentre. Compris ?
- Je savais que vous feriez le bon choix !
- Vous, cette histoire ne vous concerne pas. À vous
[cdb]de voir si vous souhaitez nous prêter main-forte.
- Personne ne vous jugera si vous décidez de
[cdb]passer votre tour pour cette petite traque.
- Les accompagner
- Rentrer
- Bah, je vous accompagne. Je préfère contribuer
[cdb]à sécuriser les terres de Leonie.
- Bah, je vous accompagne. Je préfère contribuer
[cdb]à sécuriser les terres de Leonie.
- Contente de savoir qu'il reste des gens
[cdb]sur lesquels je peux compter...
- ...
- ...
- Ouais, en fait je vais rentrer. Histoire de prendre
[cdb]un vrai repas chaud et un bon bain.
- Ouais, en fait je vais rentrer. Histoire de prendre
[cdb]un vrai repas chaud et un bon bain.
- Grr...
- Je voulais dire, après vous avoir aidés !
Je tiens absolument à vous accompagner !
- Je voulais dire, après vous avoir aidés !
Je tiens absolument à vous accompagner !
- Vous pouvez très bien vous passer de moi,
[cdb]mais plus il y a de bras, moins il y a de peine...
- Vous pouvez très bien vous passer de moi,
[cdb]mais plus il y a de bras, moins il y a de peine...
- Dans ce cas, en route. Leonie ? C'est
[cdb]vous qui prenez le commandement.
- Comptez sur moi, capitaine !
- Assez discuté ! On a des villageois à délivrer !
- Euh... Oui, j'arrive.
- Euh... Oui, j'arrive.